- La révision d’avril 2024 du plan de stabilité par le gouvernement maintient des anticipations optimistes sur la croissance.
- Il n’y a pas de source d’économies « faciles » et la solution d’une contribution des retraites, si elle peut être envisagée, ne parait pas justifiable par des problématiques de revenu comparés avec celui des actifs.
- La question se pose dorénavant d’un risque de dégradation de la notation souveraine française. Dans cette hypothèse, l’augmentation du spread avec l’Allemagne ne serait pas attendue très élevée si les conditions de marchés restaient identiques.
