Dans le domaine de la construction résidentielle, l’activité reste encore en repli mais la progression des autorisations laisse entrevoir une embellie pour les mois à venir.
La relance de la production de crédits nouveaux se poursuit. La baisse observée du taux moyen des crédits immobiliers s’est estompée. Une tendance à la hausse semble même se dessiner.
D’ici fin 2025, le coût du crédit pourrait se raffermir légèrement avant de se stabiliser pour l’année prochaine. Les transactions et les prix dans l’ancien, de surcroît la production de crédit à l’habitat, devraient rebondir significativement en 2025 et, dans une moindre mesure, en 2026. Toutefois, un aléa subsiste quant à l’ampleur de la reprise du marché de l’immobilier. L’évolution de la conjoncture économique, nationale et internationale, pourrait peser sur les taux de marché, qui aura un effet sur les taux des prêts à l’habitat et in fine sur le marché immobilier dans son ensemble.
Du côté du non résidentiel, les prix des bureaux en Ile-de-France continuent de pâtir du recul de l’activité sur ce segment de marché. Les loyers, en revanche, restent globalement en hausse.