Interview de collaborateur : Virginie Gabriel, chargée d’affaires entreprises au sein de la BFI

Je m’appelle Virginie. Après une formation IUP Banque-Assurance, je suis entrée dans le monde du travail directement en front office, dans un centre d’affaires entreprise. Je me suis vue confiée très rapidement la gestion d’un petit portefeuille en région parisienne.

Au gré de différentes mutations géographiques, j’ai pu travailler sur différents portefeuilles, de la PME à l’ETI, jusqu’à la grande entreprise.

En 2018, je me suis spécialisée en immobilier durant trois années, j’ai pu accompagner les chargés d’affaires d’un réseau, sur des financements immobiliers corporate, c’est-à-dire pour des clients qui avaient des besoins immobiliers significatifs, ou aussi ceux que l’on appelle « les professionnels de l’immobilier » (les foncières, les promoteurs, les investisseurs, les marchands de biens).

J’avais l’envie de rejoindre un groupe bancaire en croissance, mais également par curiosité, pour le goût du défi, avec l’idée qu’il y aurait plus de place pour de la co-construction dans cette nouvelle banque, et que les collaborateurs auraient davantage voix au chapitre.

Elle se distingue tout d’abord par sa jeunesse, mais également par l’image qu’elle véhicule, et ses ambitions de croissance qui ne sont pas au détriment de son rôle citoyen. Elle se distingue aussi par ses capacités à se développer sur de nouveaux marchés. Et pour finir, je dirai que ce sont ses valeurs, qui ne sont pas que du marketing, qui lui permettent également de se distinguer sur ce marché.

Ce qui m’étonne et que j’apprécie également dans mon métier au quotidien, ce sont les nouveaux apprentissages à chaque fois que l’on rencontre nos clients, qui sont régulièrement des dirigeants d’entreprise. Souvent passionnés, ils nous font découvrir de nouveaux métiers, de nouveaux business models et de nouvelles problématiques. Il n’y a rien d’industriel dans ce métier. Chaque dossier est différent et nous sommes vraiment obligés de faire du sur mesure, voire de l’orfèvrerie.

Au sein d’une direction régionale, il y a généralement plusieurs centres d’affaires. Chaque centre d’affaires est animé par un directeur de territoire, qui a lui-même une équipe de chargés d’affaires. Un chargé d’affaires dispose d’un portefeuille, et fonctionne généralement en binôme, avec un deuxième chargé d’affaires, notamment pour s’organiser pour les absences. Ce binôme travaille aussi avec un assistant commercial, qui est le contact privilégié pour les clients au quotidien. Nous fonctionnons donc même en trinôme.

Dans une logique de 360° autour du client, nous sommes accompagnés par des experts en cash management, en financements structurés, en affacturage, en crédit-bail. Le chargé d’affaires est le chef d’orchestre pour aller chercher les compétences des experts en temps voulu. 

Après plus de 15 ans de métier autour de l’entreprise, j’ai œuvré sur différents postes de chargé d’affaires. Aujourd’hui, j’ai des envies de mobilité côté banque privée, autour du dirigeant d’entreprise, parce que j’ai le souhait de capitaliser sur ma connaissance de l’entreprise pour être pertinente dans le conseil auprès des chefs d’entreprise.

Finalement, en ayant eu cette opportunité de travailler dans l’immobilier, j’ai déjà côtoyé ce type de clientèle, et cela me donne très envie d’aller un peu plus loin sur le sujet. Dans un futur proche, je rêve de rejoindre les équipes de Louvre Banque Privée.

La Banque Postale c’est un acteur qui gagne à être connu, une banque qui dénote dans le paysage actuel mais qui aujourd’hui, a tout d’une grande. »