Parmi les principales caractéristiques du dernier mandat :
- une décélération du rythme des dépenses de fonctionnement,
- le dynamisme des droits de mutation à titre onéreux (DMTO),
- une tendance à la hausse des soldes d’épargne, fortement perturbée cependant en 2020 avec la survenue de la crise sanitaire,
- des investissements annuels moyens plus faibles que précédemment même s’il faut souligner la relance observée depuis 2018,
- un poids de la dette en diminution.
Sur la période la plus récente, les premiers effets de la Covid-19 sur les finances départementales sont assez différents de ceux que l’on pouvait anticiper dans les premiers mois de la crise sanitaire (aussi bien sur le revenu de solidarité active – RSA - que sur les DMTO). Dans ce contexte, l’indiscutable amélioration de la situation financière des départements en 2021 ne doit sans doute pas être perçue comme révélatrice d’une tendance longue.