Véritable outil de financement vert, le prêt vert de La Banque Postale s’accompagne d’une analyse mesurable de l’impact écologique du projet en cohérence avec la taxonomie européenne. Les prêts verts de La Banque Postale sont en outre refinancés par des obligations vertes émises par la SFIL, banque publique de développement au service des territoires partenaire de La Banque Postale.
Ce prêt vert fait écho à la récente étude de La Banque Postale réalisée en partenariat avec Terra Nova sur la gestion du service public des déchets ménagers dont l’objectif est d’accompagner au mieux les acteurs locaux dans leur engagement en faveur de la transition écologique. L’étude souligne notamment que face aux évolutions réglementaires plus contraignantes (loi TECV et fiscalité TGAP), le modèle de gestion des déchets en France va devoir amplifier sa transformation. Ainsi, des investissements locaux seront nécessaires pour limiter les conséquences environnementales en réduisant au minimum l’impact de solutions comme l’enfouissement, et en intégrant davantage les enjeux de transformation et de valorisation, avec pour finalité la réduction de l’utilisation des ressources naturelles par le développement d’économies circulaires.
Avec 25 % de parts de marché en 2020, La Banque Postale est le premier prêteur bancaire des collectivités locales depuis 2015. Depuis le lancement des prêts verts aux collectivités locales mi 2019, près de 400 projets ont été financés pour plus d’1,5 milliard d’euros. L’objectif de La Banque Postale est de conforter sa position de leader du financement du secteur public local en accompagnant les collectivités dans leurs besoins de financements pour atteindre 30% de part de marché d’ici 2025.
Ce financement par La Banque Postale s’inscrit dans l’action de développement des territoires du grand pôle financier public constitué avec le Groupe La Poste, la Caisse des Dépôts et l’État.