Cette nouvelle offre vise à rendre les clients de La Banque Postale acteurs de la transition juste en les incitant à favoriser des projets immobiliers à impact positif sur les dimensions environnementale, territoriale et d’inclusion sociale ou à réaliser des travaux de rénovation énergétique.
La Banque Postale accélère aujourd’hui la transformation de son modèle bancaire avec le déploiement de son offre de crédit immobilier à impact auprès de ses clients. Cette nouvelle offre de crédit, qui se base sur un Indicateur d’Impact Global dont la revue critique a été réalisée par le WWF et déployé d’ici fin 2023, vise à promouvoir de nouveaux modes de consommation, plus inclusifs et responsables.
La décarbonation doit sortir de l’incantation et s’incarner en action. Le lancement du crédit immobilier à impact, co-construit avec notre partenaire WWF, est un jalon essentiel dans notre trajectoire de décarbonation et la diminution de notre impact sur la nature visant à intégrer notre engagement au coeur de notre activité de banque de détail. Au fur et à mesure, l’ensemble de notre gamme de produits permettra à nos clients particuliers de devenir les acteurs de cette transition. Au travers de cette nouvelle étape, La Banque Postale se positionne comme un laboratoire d’idées permettant d’incuber les solutions bancaires de demain.
Philippe Heim — Président du directoire de La Banque Postale
Une offre de financement complète pour accompagner ses clients dans la transition juste
Le crédit immobilier à impact permet dès aujourd’hui de faire bénéficier les futurs acquéreurs d’un taux de crédit immobilier bonifié en fonction du type de bien qu’ils souhaitent acquérir. Ainsi, que le logement soit neuf, récent ou ancien, une réduction sur le taux d’emprunt sera attribuée dès maintenant en fonction de leur Diagnostic de Performance Energétique (DPE).
Mais, dès la fin d’année 2023, c’est l’Indice d’Impact Global (IIG) qui permettra de réaliser un scoring global du logement, sur la base de ses performances énergétiques, de son impact sur la biodiversité via la prise en compte de l’artificialisation des sols ou encore de critères visant à évaluer l’impact territorial du projet et la dimension d’inclusion sociale.
